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Histoire de la navigation : les Rivières de l’Ouest

Histoire de la navigation : les Rivières de l'Ouest

Pourquoi une plongée sur l’histoire de la navigation sur les Rivières de l’Ouest ? Parce qu’il est toujours bon -pour aller de l’avant- de savoir d’où l’on vient ! Ce petit article ne se veut pas exhaustif et s’appuie sur des sources consultables en ligne, ou sur le site de l’INA … Mais aussi sur des témoignages oraux et écrits, des trésors de savoir que l’on trouve parfois chez des passionnés locaux ! N’hésitez pas à nous partager le vôtre !

La bataille des noms : histoire des Rivières de l'Ouest

D’entrée, les puristes ont déjà sauté au plafond : parler d’histoire avec le terme « Rivières de l’Ouest » (marque déposée en 2020) en fera grincer plus d’un ! Ce n’est pas innocent : l’histoire de notre région, comme beaucoup d’autre, est avant tout le résultat d’une complexe évolution.

Et parfois, le simple fait de nommer est déjà une bataille ! Au fil du temps, les rivières, les territoires et même le réseau de voies navigables ont changé de nom. Parfois pour des questions d’identité, d’autres fois à cause d’une habitude de langage, ou simplement pour s’adapter à l’usage de nos rivières !

Quand on parle de « Rivières de l’Ouest® » aujourd’hui, on fait référence à la partie navigable des rivières Sarthe, Mayenne, Oudon et Maine. Sous le point de vue d’une cohérence de destination touristique.

On vous épargnera aujourd’hui l’intéressante épopée étymologique des noms de chaque rivière. Concentrons nous plutôt sur leur histoire commune (vu depuis la lunette d’un navigant bien sûr !).

Histoire rivières de l'ouest - plan laval
Plan de travaux Laval : 1822 (Source : INA)
Barrage Aiguille
Barrage à aiguille - Ville de Montrichard

Moyen Âge : les cours d'eaux, vecteurs de vie

Avant tout, mettons fin à cette confusion commune que l’on entend parfois. Les Rivières de l’Ouest ne sont pas un réseau de canaux ! Quand on pense « navigation fluviale » on pense souvent aux grands canaux artificiels Français connus … Ce n’est pas le cas ici !

Ce réseau navigable est bien un réseau de rivières naturelles, qui ont été aménagées au fil du temps par l’homme.

Bien avant le Moyen-Âge, les communautés se sont bien souvent installées aux bords de ces cours d’eau. Outre l’apport en eau, nos ancêtres ont bien sûr tiré partie des nombreux avantages des rivières. Leurs sources de nourriture (pêche), la fertilité des terres avec le dépôt de limon, la protection de ces barrières naturelles, etc …

Au Moyen Âge les actuelles Rivières de l’Ouest étaient un axe de transport naturel privilégié. Tout d’abord du fait de la mobilité naturelle qu’apporte ses courants. La flottabilité des embarcations permet également de déplacer facilement des poids importants. Mais aussi (à une époque où les routes sont parfois dangereuses), la rivière constitue un axe sûr pour se déplacer.

Au XVIème siècle, on voit arriver le début de travaux d’importances sur la rivière. Barrages, pertuis à aiguilles et portes marinières font peu à peu leur apparition. Tout cela dans le but de mieux gérer les hauteurs d’eau et les passages « délicats ». À l’époque, c’est déjà une révolution : il faut « seulement » 15 jours pour faire le trajet de Laval à Angers ; et environ 25 pour remonter dans l’autre sens. Pour comparaison, aujourd’hui c’est un trajet qui représente environ une quinzaine d’heure de navigation !

Le 19ème siècle : âge d'or de l'histoire des rivières de l'ouest côté navigation

Quand on parle de navigation fluviale, le 19ème siècle est souvent évoqué comme un tournant majeur, un « âge d’or » comme diraient certains.

De grands travaux d’ouvrages sont entrepris. Parmi eux, on peut citer les nombreux quais, ponts et viaducs, mais aussi et surtout : l’écluse à sas. Cette dernière ressemble peu ou proue aux écluses qui composent, encore aujourd’hui, notre réseau.

La rivière devient un lieu de mobilité important. On généralise les bacs là où il manque des ponts (comme celui de Ménil pour faire passer les ouvriers : un bac qui existe encore aujourd’hui !).

On voit aussi des bouts de notre patrimoine apparaître et disparaître. À Laval par exemple, la construction des quais viennent remplacer les maisons sur pilotis qui subissent régulièrement les dangereuses crues de la Mayenne. Des lavoirs disparaissent ; mais pour les remplacer, apparaissent des bateaux lavoir (comme le Saint-Julien à Laval, qui se visite toujours !).

Se développe aussi la gabare, une embarcation typique des rivières de l’Ouest de la France. Des bateaux de bois à fond plat et un faible tirant d’eau, permettant de porter des charges plus importantes. Sur la partie angevine de la Sarthe, la gabare « La Gogane » propose toujours aujourd’hui des ballades commentées pour les amoureux de la rivières mais aussi de l’histoire locale.

Le chemin de halage

Et bien sûr, les passages de pont limitant (voire empêchant) l’usage de mâts et voiles : il reste le problème de la motorisation. Pour pallier à ces limitations, des chemins de halage et contre-halage sont implantés le long des rivières. Encore aujourd’hui, on en trouve des traces côté Sarthe ; et sur la quasi entièreté de la Mayenne et Maine. Grâce à ces chemins, les gabarres sont tirées à force de bras ou par des chevaux. Le bateau promenade « L’Hirondelle » propose encore dans l’une de ses croisières une démonstration de halage à Grez Neuville.

Toutes ces évolutions font du 19ème siècle un âge d’or du commerce fluvial sur les Rivières de l’Ouest. Charbon, céréales, bois, fer, lin et bien d’autres commencent à affluer vers La Loire et au delà. Certains produits localement réputés, comme le marbre, le vin, le tuffeau, les roses etc … sont exportées ainsi dans le monde entier !

Le 20ème siècle et l'arrivée des chemins de fer

Le 20ème siècle est un point tournant pour la navigation fluviale à l’échelle mondiale ; et les Rivières de l’Ouest ne sont ici pas une exception !

Certaines évolutions technologiques viennent servir la cause du commerce fluvial. Parmi elles : les machines à vapeur puis les moteurs à diesel. Mais aussi les remorqueurs et pousseurs, ces bateaux permettant de tracter plusieurs barges simultanément.

Un premier élément handicape le secteur. Là ou certaines parties de la France sont équipées d’écluses de type dit « Freycinet » ; les Rivières de l’Ouest restent sur un gabarit dit « Becquey ». Ce gabarit (plus court) limite la taille des embarcations pouvant naviguer dans le secteur.

Mais surtout, l’arrivée du chemin de fer va rapidement rendre obsolète le transport fluvial, battant tous ses records de rapidité et de capacité. Une véritable course à la diminution du prix au kilomètre s’engage. Progressivement, le trafic diminue et disparaît peu à peu. Jusqu’au début des années 1970, où les dernières péniches commerciales traversent le réseau des Rivières de l’Ouest. La baisse de fréquentation est aussi un cercle vicieux : moins il y a de trafic et plus il y a d’envasement, de détérioration progressive des équipements, diminuant plus encore l’attractivité de ce moyen de transport.

Histoire rivières de l'ouest : Ecluse de Chateauneuf
Écluse de Châteauneuf Sur Sarthe - Gabarit Becquey
Histoire rivières de l'ouest : Viaduc Mayenne
Viaduc et écluse de Mayenne

La renaissance de l'histoire de la navigation sur les Rivières de l'Ouest : le tourisme fluvial

Inspiré des anglais et du tourisme fluvial (une pratique déjà courante outre-manche), ce loisir commence à faire son apparition en France dés la fin des années 60.

Côté Rivières de l’Ouest, c’est le conseil général de la Mayenne qui lance, le premier, la dynamique en 1976. Des travaux de réhabilitation sont lancés, ainsi que des appels d’offre pour attirer des professionnels. La dynamique se propage rapidement dans les territoires voisins et bientôt nait le début d’une entente entre les départements Sarthe, Mayenne et Maine et Loire sur le réseau de rivière alors appelé « Bassin de la Maine ».

En 1980, nous (Anjou Navigation) nous installons  dans le petit village de Grez Neuville avec une poignée de quelques bateaux, le début d’une épopée qui continue encore aujourd’hui !

De nombreuses activités se développent autour de la rivière : location d’embarquement et de bateaux habitables, clubs sportifs, infrastructures de pêche, etc …

1976 : Le Conseil Général de Mayenne lance une nouvelle dynamique (Source : INA)
anjou navigation
1980 : Anjou Navigation démarre l'aventure (Source : INA)

Le XXIème siècle : élans collectifs

Avec le nouveau siècle, de nouveaux enjeux permettent à notre secteur de se démarquer.

Loin des réseaux navigables détenus par le gros opérateur VNF, notre bassin de navigation reste encore géré localement par les départements traversé par les rivières (Sarthe, Mayenne et Maine-et-Loire). Une spécificité de la région qui fait la fierté des pratiquants, car elle est un gage de qualité et de suivi !

En outre, la labellisation de la zone Natura 2000 des Basses Vallées Angevines (un peu moins de 10 000 hectares) vient amorcer une dynamique de préservation du Sud de notre réseau. Un secteur connu pour ses grandes étendues d’eaux et son patrimoine naturel (flore et faune) protégé.

Histoire rivières de l'ouest
La Sarthe, la Mayenne et l'Anjou inaugurent la destination "Rivières de l'Ouest"

Peu à peu, les territoires prennent conscience de l’attractivité touristique de la destination. En 2019, l’initiative Rivières de l’Ouest® est lancée ! La Sarthe, la Mayenne et le Maine et Loire décident de se rassembler autour d’un nom et projet commun pour mutualiser les efforts. Après une série de recherches pour trouver les points communs des territoires et créer une identité forte, une communication régionale nationale est lancée. En 2022, une grande étude est amorcée pour faire un état des lieux des équipements du réseau « fluvestre ». C’est à dire : toutes les activités qui touchent de près ou de loin à la rivière (les bateaux bien sûr, mais aussi les voie vertes, la pêche, les activité sportive, etc …). De belles perspectives de développement sont donc encore devant nous !

Un regard vers l'avenir : de nouveaux challenges

Notre époque est celle aussi de l’apparition de nouveaux risques et impacts liés au dérèglement climatique. Et les réseaux de rivières ne sont pas épargnés par ces nouveaux enjeux ! Les épisodes de crues, bien que naturellement présent bien avant notre époque, tendent à s’accentuer et devenir plus imprévisibles. Mais aussi et surtout, des épisodes de sécheresse viennent toucher notre réseau.

En 2022, les fortes canicules estivales qui touchent l’Europe impactent pour la première fois la navigation dans notre région d’une telle manière. La variété géographiques des affluents du bassin, qui d’ordinaire nous protège de la sécheresse, n’arrivent plus à alimenter suffisamment. Pour la première fois, des restrictions nécessaires sont mises en place pour les navigants. Provoquant d’abord des inquiétudes, cette période s’est révélée finalement être une franche réussite de coopération entre les opérateurs et les usagers de la rivière. Le rôle de l’éclusier devient ici primordial (un gros avantages de la région qui maintient toujours des éclusiers en place). Rassemblant les bateaux aux écluses pour limiter le nombre d’éclusage ; navigants et éclusiers communiquent entre eux pour anticiper les passages de chacun. Les retours des équipages qui reviennent au port sont unanimes : c’est une franche réussite !

Ces sécheresses sont aussi des terrains propices au développement de cyanobactéries (chaleur, stagnation de l’eau due à la baisse de niveau des rivières). Ces bactéries d’ordinaires présentent en faibles quantité, se développent rapidement dans ces conditions. Parant alors les eaux de leur couleur verte dû à la chlorophylle qu’ils synthétisent, la toxicité de l’eau augmentant peut devenir un risque pour l’homme et certains animaux.

Ces problématiques nouvelles deviennent de véritables enjeux pour demain, incitant tous les acteurs à réfléchir au sujet du partage de l’eau. Mais aussi à remettre en cause nos pratiques individuelles et collectives : leurs impacts -directs et indirects- sur notre environnement.

Partagez nous votre histoire sur les Rivières de l'Ouest !

Vacances en bateau : que dois-je mettre dans ma valise ?

Vacances en bateau : Que dois-je mettre dans ma valise ?

Premier séjour en bateau ou tout simplement besoin d’une petite vérification avant le grand départ ? Pas de panique, nous sommes là pour vous rappeler tout ce dont vous aurez besoin dans votre valise pour vos vacances en bateau sur la rivière ! 

vacances bateau valise
 
Prêt pour une aventure en bateau fluvial

Pour les personnes qui commencent à faire leurs valises un mois avant le départ, mais aussi pour les procrastinateurs qui partent « déjà » demain… C’est désormais le moment de commencer à préparer vos bagages ! 

Si vous êtes là, c’est probablement car, vous non plus, vous ne savez pas par où commencer.

Jusqu’ici, il n’y a pas de quoi paniquer ! Rappelez-vous toujours que même le marin le plus expérimenté a déjà oublié un élément essentiel de son équipement 😉

Pour tenter d’éviter certaines péripéties, voici une liste des choses indispensables à prévoir dans sa valise pour des vacances inoubliables en bateau sur la rivière !

 

Le but n’étant pas de réunir tout ce qui apparaît dans cette liste. Par conséquent, à vous de faire quelques sélections de ce qui pourrait vous être indispensable pendant votre séjour ! Oubliez dès maintenant les 10 kilos d’affaires « juste au cas où », c’est les vacances !!

 

Quelle est la valise idéale à apporter en vacances sur un bateau ?

Sac à dos, sac de voyage, valise souple, valise rigide.. On peut rapidement s’y perdre avec tous ces bagages ! Mais alors, quel est le bagage le mieux adapté pour des vacances en bateau ? 

En effet, vous l’aurez certainement deviné, l’espace sur un bateau est assez limité. Bien qu’il existe quelques placards et trappes de rangement, ces espaces sont plutôt étroits et peuvent rendre difficiles le stockage de plusieurs grosses valises. Pour cette raison, nous recommandons les sacs relativement souples qui peuvent être facilement pliés et rangés dans le placard de vos cabines respectives. 

Les indispensables dans ma valise pour des vacances en bateau en toute sérénité !

Et pour les vêtements ?

Quelques jours avant d’embarquer, renseignez-vous bien concernant la météo, cela vous évitera des mauvaises surprises ! 

Une trousse de toilette peut-être ?

Les p'tits plus !

Questions, conseils, réservations.... N'hésitez plus !

Comment louer un bateau sans permis ?

Comment louer un bateau sans permis ?

Vous cherchez comment louer un bateau sans permis pour une escapade, mais vous ne savez pas comment cela fonctionne ? Voilà un petit guide qui devrait vous aider. D’abord à comprendre ce qu’on appelle « sans permis » mais aussi vous aider à préparer votre projet !

Qu'est ce qu'on appelle un "bateau sans permis" ?

Avant tout, le terme « bateau sans permis » est une simplification de langage qui cache une plus grande complexité. En effet, prenez à peu près n’importe quel modèle de bateau proposé par un loueur : vous pouvez être sûr que ce bateau nécessite normalement un permis. À cause notamment de sa taille et/ou souvent de la puissance de son moteur. Effectivement, dés que vous dépassez une puissance de 6 chevaux, un permis est normalement nécessaire (autant dire la quasi totalité de n’importe quel bateau à moteur).

C’est là qu’intervient ce qu’on appelle un « Noliseur ». Ce jargon marin désigne une entreprise (un loueur) qui a obtenu une certification lui permettant de former des équipages et de leur délivrer une « carte de plaisance » (pour parler plus simplement : un permis provisoire).

Bien sûr, le nolisage n’est pas autorisé partout et doit répondre à un certain nombre de critères : une zone navigable facile, ne présentant pas de courant ou de vent forts ni représenter de danger vis à vis d’une navigation marchande (dans le milieu, on appelle cela des zones intérieures protégées).

Bien que le processus puisse légèrement varier d’un noliseur (loueur) à un autre, le principe fondamental reste le même : une formation (ou « mise en main ») est dispensée avant votre navigation. Elle reprendra l’essentiel des choses à savoir et des manœuvres à effectuer pour pouvoir naviguer en toute sécurité.

comment louer un bateau sans permis riviere

Comment louer un bateau sans permis ?

Adressez vous auprès d’un loueur agrée, appelé noliseur. La conduite est autorisée à partir de 16 ans et une formation doit être effectuée avec le loueur pour obtenir un permis provisoire appelé « carte de plaisance ». Vérifiez également auprès du loueur ses conditions générales pouvant demander des garanties supplémentaires. Le plus souvent une autre personne majeure est obligatoire, ainsi que le dépôt d’une caution.

comment louer un bateau sans permis

Quelques conseils avant de louer un bateau sans permis.

Bien choisir son équipage !

Avant de se lancer dans la location, voilà une chose élémentaire à bien préparer ! Il est conseillé d’avoir à son bord au moins deux personnes aptes à piloter, mais aussi à descendre sur les pontons pour amarrer le bateau et aider de façon générale aux manoeuvres. Un minimum de condition physique est donc nécessaire.

Ensuite, rappelez vous que naviguer est avant tout une aventure qui se fait souvent dans une habitation plus minimaliste que le confort et l’espace de sa maison ! Alors à vous de jouer pour bien accorder les ronfleurs, les adeptes des grandes salles de bain et les enfants énergiques !

Enfin, pour que ce moment reste une expérience sereine, il est conseillé d’embarquer un nombre suffisant d’adultes comparé au nombre d’enfants. Et ce afin qu’une surveillance minimum soit toujours garantie même pendant les manœuvres !

Choisir son embarcation et sa zone de navigation.

Une fois vos marins désignés, il est temps de trouver le fier navire qui les verra embarquer ! Renseignez vous auprès de votre loueur et n’hésitez pas à lui détailler la composition de votre équipage pour être orienté vers un modèle adapté !

Mais aussi, lui faire part de vos envies de visite et/ou du style de séjour que vous envisagez. Est ce que vous cherchez simplement à vous retrouver en famille ? Ou bien avez vous prévu des visites de patrimoine ? Une itinérance des vignobles ? Etc … Un loueur bien renseigné saura vous orienter !

Bien choisir son loueur !

Depuis la renaissance du secteur de la location de bateau, un florilège d’agences plus ou moins spécialisées se sont lancées sur le marché. Parfois avec des politiques commerciales agressives pour attirer un maximum de clientèle via Internet, manquant souvent de transparence quant à la propriété des bateaux mis en avant.

Il n’est pas simple effectivement de trier le vrai du faux et de réussir à différencier le loueur local de la grande centrale d’appel.

Prenez le temps de vérifier les adresses et la précision des informations données. En s’adressant en direct au noliseur, vous êtes sûrs d’avoir un conseil expert sur l’ensemble des questions que vous vous posez.

Avant de partir : les derniers détails qui ont de l'importance !

Quelques jours avant votre expéditions, il est temps de peaufiner les derniers détails.

Tout d’abord en se faisant une idée sommaire de la direction que vous allez emprunter. Retrouvez en cliquant ici quelques suggestions de parcours.

Puis en préparant correctement sa valise : voici un article qui vous y aidera.

Et enfin, en jetant un œil à la formation que vous allez recevoir le jour J. Un mousse novice mais bien renseigné vaut tous les vieux loups de mers trop sûr d’eux ! Cliquez ici pour voir une initiation en ligne.

Il ne vous reste plus qu’à donner une heure et un lieu de rendez vous à votre équipage ! N’hésitez pas à contacter votre loueur pour peaufiner les derniers détails et prendre rendez vous avec lui pour votre arrivée !

Besoin d'autre chose ?

Spécialités Anjou, Sarthe et Mayenne

Spécialités Anjou, Sarthe et Mayenne : déguster local pendant sa navigation !

Profitez de votre croisière pour tester la gastronomie et les spécialités d’Anjou, de la Sarthe et de la Mayenne !

Spécialités Anjou Sarthe Mayenne

La gastronomie, ça commence avant tout par une ambiance !

On entend toujours parler « d’art de vivre » parfois à tord et à travers. Mais, ici, dés qu’on se retrouve autour d’une table pour manger les spécialités que mijotaient nos parents, grands-parents, arrière grands-parents etc … Force est de constater : on trouve de quoi discuter !

Les Pays de la Loire, et notamment les territoires dans les terres, sont teintés d’un savoureux mélange de spécialités fermières/campagnardes et de raffinement qu’oblige toute bonne vigne qui se respecte ! Même le plus bourru des paysans est un grand cuistot (et fin gourmet) en Anjou !

Oulah pas trop vite ! Avant le repas, il y a l’apéritif !

Effectivement : ne brûlons pas les étapes ! On installe les tables d’abord sous un préau au frais, on tire une grande nappe, on ramène quelques chaises en plus, ou de grands bancs … Et surtout l’apéritif !

On se fait quelques galipettes ?

Rassurez vous, pour un Angevin, les galipettes ce sont surtout des chapeaux de champignons retournés et farcis ! Parfait pour servir sur un plateau et faire passer parmi les convives. Sinon la recette c’est par ici !

Et les rillettes alors ?

Malheureux ! Une table sarthoise sans rillettes, mais quelle idée ! J’en amène tout de suite !

Rillauds ou rillons : une autre guerre culinaire entre la Touraine et l’Anjou

On ne rigole pas c’est très sérieux ! Il n’y a pas que la guerre des rillettes qui divisent l’Anjou et la Touraine. Dit-on « rillauds » ou « rillons » ? Et d’abord qu’est ce que c’est que ça ?! Ces délicieuses charcuterie que l’on déguste aussi bien froid que chaud sont en fait des cubes de poitrine qui ont conservé leur couenne. Et puisqu’on est en Anjou, on dit rillauds, oui Monsieur !

Et un apéritif à boire peut être ?

On garde le vin pour après, pour le moment, on débouche un bon Pommeau du Maine. À base de pomme, pomme à tanin et d’eau de vie de cidre : un apéritif Mayennais qui va vous ouvrir l’appétit !

À taaaaaable ! On va déguster quelques spécialités d’Anjou, mais pas que !

Les fouées : toute une institution !

Imaginez : une grande cave voutée en tuffe blanche, un four à pain … et tout un tas de petit pâton de pain cuit que l’on va fourrer avec des champignons, du lard, des haricots, du fromage etc … Mais qu’est ce que c’est que cette merveille ?!

En bateau, choisissez une croisière passant dans le Maine et Loire (autour d’Angers) pour trouver des restaurants proposant des fouées !

La marmite sarthoise, un condensé de produits locaux !

À chaque région son plat mijoté. En Sarthe, on fait une marmite avec toutes les bonnes choses d’ici ! Du poulet de Loué, du Jasnières (vin blanc local !), des légumes du potager, etc … Jetez un œil à la recette ici !

En bateau, choisissez une croisière partant de Sablé Sur Sarthe pour acheter les délicieuses conserves du Boeuf Fermier de Solesmes : marmite sarthoise et plein d’autres spécialités locales !

Il y aurait bien une petite tourte mayennaise ?

Quoi de plus joli à poser au milieu de sa table qu’une belle tourte bien dressée ? La tourte mayennaise, c’est un condensé de produits locaux : du fromage bio d’Entrammes, des pommes de Mayenne cuites au Pommeau … et tout un tas d’autres choses délicieuses !

Tavernier ! Un peu de vin avec tout ça ! Mais attention : des spécialités d’Anjou bien sûr !

Rouge, blanc ou rosé ?

Nous avons déjà parlé du Jasnières, un vin blanc sarthois. Mais c’est surtout en Maine et Loire que nous allons trouver un plus grand panel ! Parmi les vedettes de la table on retrouve notamment :

  • Le cabernet d’Anjou, un vin rosé fruité
  • Le Saumur et Saumur-Champigny, vin rouge de Loire
  • Tout un panel de vins blancs de chenin comme le délicieux Coteaux du Layon !
En bateau, prévoyez une excursion d’une journée dans les vignobles en réservant auprès de Dionysos Bike en cliquant ici !
location bateau vin loire
P. Caharel

Maintenant qu’on a ouvert quelques bouteilles, on ne va pas louper le fromage !

Alors ça non ! On sort vite le plateau de fromage … il va falloir choisir (mais non, on plaisante, coupez donc une petite tranche de chaque).

En Anjou d’abord, on trouve plusieurs fromage de chèvre : chabis, roumé, bûches diverses etc … Mais aussi de la tomme d’Anjou bien sûr !

En Mayenne, on se tourne vers les fromages de vache avec entre autres : le Port Salut (c’est marqué dessus), le Bon Mayennais (notre camembert à nous !) et enfin, un de nos péchés mignons … le Bio d’Entrammes !

En bateau, vous pouvez accoster à deux pas de la laiterie qui produit le Bio d’Entrammes. Exemple de croisière correspondant en cliquant ici !

Une petite place pour le dessert ?

Difficile, avant d’organiser un repas, de choisir quel dessert faire en Anjou … Ce n’est pas ce qui manque !

Si vous êtes plutôt dessert « frais », alors on se lance dans un crémet d’Anjou … mousseux, onctueux et si léger ! Son petit secret : cliquez ici !

Côté beignet, il y a aussi ce qu’il faut ! Mais ici, on appelle ça des « bottereaux » ! Traditionnellement fait pour Mardi Gras, ces petits beignets en formes de losanges, sont cuisinés avec une petite dose d’eau de vie.

Côté biscuit, on a bien entendu, en Sarthe, le petit Sablé de Sablé-Sur Sarthe !

En bateau, choisissez n’importe quelle croisière sur la Sarthe pour pouvoir accéder aux maisons historiques de biscuiteries voire faire une visite des ateliers de fabrication !

De même qu’en Anjou, il faut absolument essayer cette curiosité : le quernon d’ardoise. Fermez les yeux et imaginez donc … D’abord, le fondant d’un chocolat bleu (d’où le nom « d’ardoise », l’or noir d’Anjou !) … et ensuite le croquant d’une nougatine caramélisée.

En bateau, choisissez une croisière passant par Angers pour pouvoir accéder à la maison du Quernon d’Ardoise : à 20 minutes à pied du port d’Angers !

Côté gâteau … que dis-je … la star des desserts angevins bien sûr ! Le fameux pâté aux prunes en effet ! Mais je vois déjà votre tête étonnée … du pâté en dessert ? Mais non loin de là, pas ce genre de pâté ! Ici en Anjou, le pâté aux prunes, c’est un gâteau fait de deux pâtes à tarte entre lesquelles on glisse des reines-claudes.

pâté aux prunes
M. Minard

Envie de venir découvrir les spécialités d’Anjou ?

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